Plusieurs syndicats du gestionnaire des aéroports desservant Paris appellent ce 8 juillet à se mettre en grève mercredi prochain, une dizaine de jours avant l’ouverture des JO. Ils réclament une gratification «pour l’ensemble du personnel».

Plusieurs syndicats d’Orly et Roissy demandent une « gratification pour l’ensemble du personnel ».

CGT, CFDT, FO et Unsa demandent une prime pour l’ensemble du personnel du Groupe ADP, en raison des Jeux olympiques. Un appel à la grève est lancé pour le mercredi 17 juillet.

Les Jeux olympiques 2024 débuteront le 26 juillet prochain...

Plusieurs syndicats du gestionnaire des aéroports desservant Paris, le Groupe ADP, ont appelé ce lundi 8 juillet à se mettre en grève le 17 juillet, soit une dizaine de jours avant l'ouverture des Jeux olympiques.

Les syndicats réclament pour la période des Jeux olympiques une gratification pour l’ensemble du personnel

Dans un communiqué publié lundi 8 juillet, plusieurs syndicats des Aéroports de Paris appellent à une grève pour mercredi 17 juillet, soit neuf jours avant la cérémonie d’ouverture des JO de Paris, peut-on lire dans Le Parisien ce lundi. C’est une date qui n’a pas été choisie au hasard. Lundi 8 juillet, plusieurs syndicats des Aéroports de Paris, CGT, CFDT, FO et UNSA, ont appelé à une grève pour le mercredi 17 juillet, peut-on lire dans le Parisien ce lundi. La grève aurait donc lieu neuf jours avant la cérémonie officielle des JO de Paris, prévue le vendredi 26 juillet. Les syndicats réclament pour toute la période des JO une gratification "pour l’ensemble du personnel" mobilisé. Dans leur communiqué, ils dénoncent également des "décisions unilatérales du PDG de verser une prime uniquement à une partie du personnel". Plus encore, ils signalent "interrompre leur participation à toutes formes de réunions avec la direction" et appellent à la grève pour "obtenir satisfaction". Les syndicats demandent également "un plan massif d’embauche" Les deux autres revendications que l’on peut lire dans le communiqué des syndicats sont "un plan d'embauche massif de 1 000 postes" et "l'arrêt des dégradations des conditions de travail, notamment en garantissant la pose des congés principaux et secondaires". Si l’appel à la grève a été lancé "c'est en raison du refus obstiné de la direction et en particulier du PDG d'ADP sous-estimant l'ultimatum lancé par les syndicats unis et la détermination des personnels". En conclusion, les syndicats indiquent que "l'entière responsabilité de ce mouvement social et de ses conséquences sur les JO" est portée par le PDG d’ADP.

Plusieurs syndicats du groupe ADP (ex-Aéroports de Paris) appellent à une grève le 17 juillet prochain. En cause, le versement d'une prime liée aux JO.