Législatives : «Je ne suis candidat à rien», assure Jean-Luc Mélenchon
2024-06-24 / Libération
A cinq jours du premier tour, Jordan Bardella détaille le programme du parti d’extrême droite ce lundi 24 juin en fin de matinée, tandis que la question du Premier ministre en cas de victoire du Nouveau Front populaire se pose.
À trois jours du premier tour des élections législatives, les figures de la majorité présidentielle, du Rassemblement national et du Nouveau
À six jours du premier tour des élections législatives anticipées, ce dimanche 30 juin, l'exécutif multiplie les interventions médiatiques,
« L’hypothèse de l’arrivée du RN est suffisamment dangereuse pour que je m’engage », a dit l’ex-président de la République, candidat aux législatives. « Jamais aucun électeur « insoumis », j’en suis certain, ne donnera sa voix au Rassemblement national », a déclaré de son côté Jean-Luc Mélenchon.
Dans un entretien au « Figaro » publié lundi, le premier ministre fustige la « tenaille » entre le Rassemblement national et le Nouveau Front populaire, pointant « le risque de la grande déchirure du pays, avec des tensions et des violences à la clé ».
A quatre jours du premier tour, Aurélien Pradié a claqué la porte des Républicains ce mercredi 26 juin, tandis que Marine Tondelier met la pression sur les macronistes pour «s’assurer» de leur barrage républicain.
Revivez la campagne pour les élections législatives des 30 juin et 7 juillet sur la journée du mardi 25 juin 2024
Les prises de position se multiplient à gauche contre une éventuelle accession du fondateur des Insoumis au poste de Premier ministre
Jean-Luc Mélenchon, invité de l’émission l’« Évènement » sur France 2 a une nouvelle fois assuré être « candidat à rien ».
La campagne des législatives entre aujourd'hui dans sa dernière semaine. Du côté de l'extrême droite, Jordan Bardella a dévoilé ce matin les grands axes du programme du RN, vivement critiqué par la gauche. Le président de la République a lui assuré que les programmes des "extrêmes" menaient "à la...
Les propos de l'ancien leader insoumis, qui a déclaré avoir "l'intention de gouverner", ont fait beaucoup réagir parmi les responsables de gauche, et l'hypothèse de Jean-Luc Mélenchon à Matignon est loin de faire l'unanimité.
La nouvelle recomposition politique initiée lors de la dissolution de l'Assemblée nationale se poursuit. À l'extrême droite, le RN ne s'alliera pas avec Reconquête qui va envoyer ses propres candidats. Du côté des LR, Éric Ciotti a poussé son parti dans la crise en voulant une alliance avec Jordan...
Alors que le premier tour des élections législatives anticipées se tient dimanche 30 juin, suivez les derniers jours de campagne avec « le Nouvel Obs ».
La cheffe des Écologistes explique à l'AFP qu'au sein des différents partis qui composent l'alliance de gauche, le PS, LFI, le PCF et les Ecologistes, "il y a un accord pour dire que le Premier ministre devra être trouvé au consensus parmi les différentes forces politiques", affirme Marine Tondelier. "Jean-Luc Mélenchon n'est pas le leader du Nouveau Front Populaire et il ne sera pas Premier ministre".
La campagne du 1er tour des élections législatives a débuté depuis une semaine. Et l'atmosphère politique est toujours sous haute tension après le feuilleton des trahisons et des alliances à droite comme à gauche, que l'Exécutif renvoie dos à dos. Suivez notre direct.
[VIDÉO] Sur ses ambitions pour le poste de Premier ministre, Jean-Luc Mélenchon a assuré lundi soir n'être "candidat à rien". "Je peux parfaitement être un ministre parmi d'autres ou ne pas être ministre du tout", a-t-il développé sur France 2. Suivez en direct les dernières informations. - EN DIRECT - Législatives : Jean-Luc Mélenchon assure n'être "candidat à rien" (Élections législatives 2024) - TF1 INFO
[VIDÉO] Jean-Luc Mélenchon assure ce mercredi soir se sentir "capable" d'être Premier ministre d'un gouvernement de gauche en cas de victoire du nouveau "Front populaire" aux élections législatives anticipées Le leader de La France insoumise appelle néanmoins à "attendre" le résultat du scrutin Suivez les dernières infos en direct. - EN DIRECT - Législatives : Jean-Luc Mélenchon se sent "capable" de devenir Premier ministre (Élections législatives 2024) - TF1 INFO
Avant le premier tour des législatives (30 juin), le RN a présenté son programme complet ce lundi matin, avec Jordan Bardella accompagné par Eric Ciotti et Marine Le Pen. Le camp du président Emmanuel Macron cherche toujours à combler son retard sur la coalition de gauche et surtout l'extrême...
C'est la dernière semaine de cette campagne express pour les élections législatives anticipées, dont le premier tour se tiendra dimanche 30 juin. La question de la nomination de Jean-Luc Mélenchon à Matignon fait couler beaucoup d'encre.
A peine commencée, la campagne des législatives entre ce lundi 24 juin dans sa dernière semaine avant le premier tour. Jordan Bardella a dévoilé les grands axes du programme du RN, tandis qu’Emmanuel Macron a accordé une interview à un podcast. Suivez l’actualité en direct
Invité du JT de 20h de France 2 mercredi 12 juin, Jean-Luc Mélenchon a donné quelques pistes sur son avenir au sein d’un gouvernement de cohabitation en cas de victoire du nouveau Front Populaire aux législatives anticipées. Jean-Luc Mélenchon futur Premier ministre ? Le scénario en cas de victoire du nouveau Front Populaire aux élections législatives n’est pas si inconcevable pour l’insoumis. C’est ce qu’il a affirmé au JT de 20 heures sur France 2, mercredi 12 juin : "Je commence par vous dire je m’en sens capable (…) Je ne suis candidat de rien du tout, je sais quelle est ma contribution à la vie de la gauche". Le fondateur de La France insoumise a toutefois tempéré :"on va en rester à la formule que propose Olivier Faure", qui est "c’est le groupe parlementaire le plus important qui propose". L’ancien parlementaire a également précisé qu’en cas de victoire du nouveau Front Populaire aux législatives, "il faut qu’il y ait une discussion. Proposer ne veut pas dire imposer donc… Vous devrez attendre". Pour clore ce sujet, Jean-Luc Mélenchon a bien appuyé sur cette déclaration : "Je ne m’élimine pas, mais je ne m’impose pas". Jean-Luc Mélenchon répond aux attaques d’Emmanuel Macron Ce mercredi, Emmanuel Macron a qualifié cette nouvelle alliance à gauche "de contre-nature" et "indécente". Sur France 2, Jean-Luc Mélenchon a rétorqué que le président de la République "vit ailleurs, sur une autre planète, dans un monde imaginaire", sans toutefois nommer explicitement le chef de l’État. "Il a raison de dissoudre (l’Assemblée nationale, NDLR), mais les conditions dans lesquelles on le fait sont catastrophiques", a-t-il analysé. "Dans quel pays du monde, les partis politiques ont trois jours pour mettre au point un programme, désigner un Premier ministre... Ça n’existe pas !", a renchéri le tribun Insoumis. Jean-Luc Mélenchon a précisé qu’au sein du nouveau Front Populaire "nous sommes d’accord sur à peu près tout (mais) nous ne sommes pas identiques".