Comme tous nos voisins, la situation politique en France interroge. C'est le cas évidemment de l'Italie où Giorgia Meloni pourrait, selon certains journalistes, être tenté de virer encore plus à droite en cas de victoire de l'extrême droite lors des législatives.
Le gouvernement de Giorgia Meloni, tête de liste de son parti d'extrême droite aux européennes, a supprimé cette mesure de lutte contre la pauvreté instaurée en 2019. Franceinfo s'est rendu en début d'année à Naples, en première ligne dans cette réforme.
En Italie, les élections européennes se sont tenues les 8 et 9 juin 2024. Le parti de la première ministre italienne Giorgia Meloni, Fratelli d'Italia est arrivé en tête du scrutin, récoltant 28,77% des voix.
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[Revue de presse] Ce jeudi 6 juin à 7h30, les citoyens néerlandais ont commencé à se rendre aux urnes pour inaugurer les 10e élections européennes depuis 1979. Le scrutin se déroule sur quatre jours dans l'UE, jusqu'à la fermeture des bureaux de vote dimanche 9 juin à 23 heures en Italie. Les forces nationalistes menées par Geert Wilders (PVV) devraient arriver en tête aux Pays-Bas.
1er mai oblige, la 10e édition de votre newsletter arrive exceptionnellement un mardi dans votre boîte mail ! Au menu cette semaine : le programme de Jordan Bardella pour les élections européennes et les colistiers de François-Xavier Bellamy. On s'attarde sur la candidature de la Première ministre italienne, puis sur les Spitzenkandidaten, avant notre traditionnel tour de l'actualité dans le reste de l'Europe. Et on termine au Portugal, avec deux chants révolutionnaires.
L'extrême droite est à la tête des gouvernements italien et hongrois. Ailleurs dans l'Union européenne, ce courant politique participe également à l'exécutif finlandais et slovaque. Il apporte son soutien sans participation à celui de la Suède.
Les dirigeants de l’UE se réunissent à Bruxelles ce lundi 17 juin au soir pour tirer les enseignements du scrutin européen. Ils doivent choisir qui présidera la Commission, alors qu’Ursula von der Leyen espère être renouvelée. Emmanuel Macron devra aussi expliquer son choix de provoquer des élections anticipées.
Tête de liste de son parti pour les élections européennes, la présidente du Conseil italien veut s’imposer comme la cheffe de file d’une union des droites européennes. En réalité, cette campagne européenne lui sert avant tout à sonder sa popularité et affirmer son leadership, moins de deux ans après son élection.
La présidente du Conseil italien a écrasé ses deux alliés au gouvernement, Matteo Salvini de La Lega (extrême droite), et Antonio Tajani de Forza Italia.
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La cheffe du gouvernement a déclaré ce dimanche 28 avril qu’elle serait tête de liste aux élections européennes de juin. Elle n’a pas pour autant l’intention de siéger au Parlement européen. Mais en Italie, ça ne gêne personne, ou presque.
La formation de la première ministre s’impose dans quatre des cinq circonscriptions de la péninsule italienne, devançant largement les alliés de sa majorité.
Le parlement européen, cuvée 2024, penche à droite. En France, la victoire du Rassemblement national a provoqué la dissolution de l’Assemblée nationale et l’heure est aux manœuvres. En Suède et en Finlande, les partis d’extrême droite ont subi des déconvenues
La première ministre est elle-même candidate aux élections européennes dans le but d’asseoir son hégémonie sur la scène politique de la Péninsule
L'extrême droite est favorite en France et déjà au pouvoir ailleurs, mais peut-elle gagner le 9 juin ?
La cheffe de file de la droite radicale et ses Frères d’Italie sont arrivés en tête dimanche, réussissant le pari de mobiliser à nouveau leurs électeurs, vingt mois après leur accession au pouvoir.
En Italie, le scrutin est personnifié, il tourne autour de la Première ministre, Giorgia Meloni. En Allemagne, le chancelier, Olaf Scholz se fait beaucoup plus discret. Pour les deux chefs d'État, cette élection sera un test pour leur coalition et leur politique.
Javier Milei, Giorgia Meloni et Marine Le Pen étaient réunis à Madrid, dimanche, pour une rencontre entre dirigeants d'extrême droite. Le président ultralibéral argentin a fait le déplacement pour venir…
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Le fossé idéologique entre la Première ministre italienne et dirigeante du parti Frères d’Italie Giorgia Meloni (CRE), et son partenaire de coalition, le dirigeant de la Ligue, Matteo Salvini (ID), continue de se creuser, notamment en ce qui concerne leurs allégeances sur la scène internationale et les élections européennes.
Alors que le nouveau parti de gauche dirigé par Sahra Wagenknecht gagne du terrain en Allemagne au détriment de l’AfD d’extrême droite, en Italie et en France, les partis Frères d’Italie et le Rassemblement national ont le vent en poupe, selon les dernières projections d’Europe Elects.
Les élections européennes ont débuté ce jeudi, aux Pays-Bas. Selon les sondages, le futur Parlement va pencher à droite, voire à l’extrême droite, à l’issue des votes dimanche soir.
Le point sur les sondages et les rapports de force entre les candidats dans quatre pays membres de l’UE où se dessinent les enjeux du scrutin qui a lieu du 6 au 9 juin.
Les sondages prédisent une progression des forces nationalistes, eurosceptiques et d'extrême droite lors des élections au Parlement européen du 6 au 9 juin. Cette progression pourrait bousculer les équilibres politiques actuels au sein de l'hémicycle.
L'extrême droite gagne du terrain en Europe. Déjà à la tête des gouvernements italiens et hongrois, plus récemment c'est au Portugal et aux Pays-Bas que l'extrême droite a battu des records. Et dans de nombreux pays, les partis d'extrême droite dominent les sondages. A moins de trois mois des élections européenne, faut-il craindre une forte poussée de ce courant politique? A terme, l'extrême droite menace-t-elle la stabilité et la paix en Europe?